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Les débuts au cabaret. . . v Après 1 an en Angleterre et 6 mois en Italie…
Annie rentre à Paris et rencontre au Pichet du Tertre (qui faisait cabaret) : Bernard Dimey -dont le compositeur est à l'époque Marion Kouzan- ainsi que Pierre Barouh et Francis Lai -accompagnateur à l'accordéon de la chanteuse Claude Goati- qui l’encouragent à se lancer réellement dans la chanson.
Elle chante alors Bruant, Mac Orlan et
Férré au cabaret de la Grange au Bouc. Puis Chez Ubu restaurant de la Rue du Chevalier de la Barre, tenu par Jacques Chabassol, puis Le Chevalet… ...repris par Jo Attia pour sa fille Nicole…
Fréquente l'épicerie buvette Chez Venet, rue Lepic, où elle rencontre les allumés duTertre*... Enfin, elle chante ses premières chansons en tant qu’auteur-compositeur à La Colombe.
v Vu
l’importance des cachets, Annie est aussi pendant un an vendeuse parlant
anglais… chez Dürer, chausseur de luxe faubourg St
Honoré, où elle trouve que ses clientes ressemblent souvent à Romy Schneider, Ingrid Bergman ou Soraya... elle range la réserve avec un incroyable zèle car elle peut tranquillement y finir d’écrire ses chansons.
Jean-Max Rivière*, qui chante chez Pomme, rue Lepic, (où il rencontrera le père de B.B. et écrira « La Madrague »), l’emmène chez son professeur de chant, Odette Soumaille, avec qui elle prendra des leçons durant plusieurs années. Ils vont quelquefois chanter près de Dijon, dans le restaurant d’un auteur de romans noirs : M.G. Brown...
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