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Théo fut
le premier à me bricoler un cadre avec des
plinthes rainurées destinées aux fils électriques... et du papier calque en guise de diffuseur...
J’ai toujours ce premier tableau, il date de 1977 : C’est un détail du Rêve,
de Douanier Rousseau... Peinture qui figure également en projet
de couverture de mon livre : Le petit chemin de sable. J’ajouterai, pour la ‘petite
histoire’ que mon ex-producteur et toujours ami Moshe Naïm habite rue de Gergovie à Paris 14ème, à l’emplacement même de l’atelier de Douanier Rousseau... Mais celui qui professionnalisa et finalisa l’idée, l’artisan qui en fut capable, m’avait déjà construit un nouveau cadre de vie :Etienne Leopold,
portraitiste et dessinateur... A deux, nous avons pu mettre le projet au
point. Notre première exposition fut modeste : au Salon artisanal de L’Isle Adam, en 1988. Nous y avons obtenu une
médaille… : le 1er prix d’artisanat d’art.
Ensuite... alors que je chantais à Mantes la Jolie dans un restaurant : l’Olivier, tenu par Jean-Pierre Avédikian, ancien directeur de Chez Eugène à Montmartre, puis de La Fournaise (chez Kasem), à Clichy - restaurant où nous exposions quelques pièces -, nous avons rencontré Jean-François Lacombe, qui venait de racheter une
imprimerie qu’il nous demanda de décorer pour son cocktail d’ouverture ! Nous installâmes, pour le cocktail
d’ouverture de l’imprimerie de Jean-François Lacombe, tous les tableaux lumineux qui revenaient juste de l’exposition
de l’Isle-Adam. Là, un grand homme de deux mètres... daltonien de
surcroît, M. Leguénec, eut le coup de foudre…
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